Une chantilly salée

€  2€00 maxi      ¹  1/4heure

· Il vous faut

De la crème fraîche liquide matière grasse 30% mini, bien froide mais pas gelée.

Sel, poivre

Citron ou vin blanc au choix.

On peut ajouter des épices mais...

· Plus simple on peut pas

Battre la crème au fouet dans un bol.

Une fois en chantilly, ajouter sel et poivre puis du vin blanc (une cuiller à soupe maxi, le reste buvez-le en mangeant) ou un jus de citron.

Surprenant mais avec du saumon fumé ou un autre poisson froid, ça va pas mal.

Au passage, ajoutez quelques petites pommes de terre cuites à la vapeur (de la charlotte ou de la Noirmoutier).

Idée plus : en faible quantité ça passe. En grosse, bonjour le ventre qui passera sur le maillot de bain

€  2€00 maxi      ¹  1/4heure

·                     Il vous faut

· 1 jaune d’œuf

· Huile d’arachide

· Sel,Poivre

· Vinaigre

· Ciboulette

· Estragon

· Un bol

· Un petit fouet (certain font ça avec une fourchette chacun son truc).

· Un couteau bien affûté (attention les doigts).

Séparer le jaune d’œuf du blanc (je fait couler l’oeuf dans ma main en ouvrant les doigts pour laisser couler le blanc.

Lavez la ciboulette et l’estragon puis les sécher avec du papier absorbant. Les couper en petits morceaux

Placez le jaune dans un bol puis ajouter un peu de moutarde et commencez a battre avec un petit fouet.

Ajouter l’huile petit à petit en fouettant. Continuer jusqu’au volume souhaité.

Saler et poivrer puis ajouter un petit peu de vinaigre (pas trop sinon pas bon et mayo fichue).

Pour terminer, ajouter la ciboulette et l’estragon puis mélanger avec une cuiller.

Je sers cette mayo avec des avocats, des asperges, de la courgette crue coupée en bâtonnets…

Idée plus : Encore une fois, le cholestérol ne va pas aimer mais comme toutes les bonnes choses, faut pas abuser

Pour 5 à 6 potes

€  15€00 maxi      ¹  1 bonne heure

·                  Il vous faut

· Un poulet fermier 1,7 kilo

· 1 kilo de blancs de poireaux

· 5 ou 6 petits navets ronds

· Une carotte

· De l’estragon

· Quelques oignons blancs avec leurs tiges vertes

· Crème fraîche

· Sel, poivre

· 50 grammes de beurre

· Un peut d’huile d’olive

· De la motivation et du plaisir

· Un couteau de petite taille (pour découper le poulet)

· Un couteau plus gros pour les légumes

· Une grosse cocote (en fonte, c’est mieux)

Commencez par découper le poulet en morceaux. Découpez ensuite la carcasse en morceaux.

Coupez les blancs de poireaux en deux dans le sens de la longueur, lavez-les à grande eau  puis séchez.

Pelez puis lavez la carotte. Coupez-la en tranches si possible en diagonale c’est plus joli.

Coupez les tiges vertes des oignons blancs puis lavez les soigneusement (l intérieur est sableux) puis coupez les comme la carotte

Nettoyez les oignons blancs puis, s’ils sont gros, coupez les en 4 dans leur longueur.

Pelez les petits navets ronds et lavez-les.

Faite chauffer un peu de beurre et un peu d’huile d’olive dans la cocote. Faites y dorer les morceaux de poulet, même ceux de la carcasse qui donneront du goût.

Une fois cela fait, mettez les de côté puis, dans la graisse laissée au fond de la cocote, faite revenir la carotte, ensuite, ajoutez les poireaux quelques minutes, mais sans les faire colorer.

Quand c’est terminé, retirez les légumes, placez la carotte et les navets au fons de la cocote, puis remettez des morceaux de poulets et couvrez avec les poireaux et les oignons blancs.

Ajoutez un peu d’eau, salez poivrez puis ajouter une grosse cuiller de crème fraîche.

Laissez cuire une bonne 1/2  heure en surveillant tel un chien sa gamelle.

Les légumes vont réduire et mélangeront leur parfum avec celui du poulet.

Ensuite, dressez sur un plat de service puis servez vos convives.

Comme légume (oui, je sais, c'est long) je fais une vraie purée de pomme de terre (avec de vraie patates, du beurre et de la crème). C'est tellement bon la sauce comme les mômes dans le trou fait au milieu du tas de purée. 

Idée plus : Vous pouvez (diététique oblige) retirer le gras qui flotte à la surface. Ca ne change pas grand-chose mais ça donne bonne conscience.

Pour réaliser la vinaigrette

Mélangez la moutarde, le vinaigre, l’huile, le sel et le poivre selon votre goût. ( j’y ajoute un peu de curry en poudre ce qui donne un goût plus « exotique » bien agréable).

Pour la salade:

Lavez la rougette et la roquette à grande eau puis essorez doucement.

Faites de même avec le poivron que vous couperez ensuite en petits dés d’un ou deux mm de coté.

Épluchez les crevettes puis fendez les en deux dans le sens de l’ épaisseur. Retirez les traces noires puis rincez. Séchez avec du papier absorbant.

Coupez les muscles de coquille St jacques en deux dans le sens de l’épaisseur. 

Dans une poêle, faite chauffer une cuiller d’huile d’olive.

Faites juste colorer (pas noircir)  les crevettes de chaque côté.

Essuyez la poêle avec du papier absorbant puis remettez un peu d’huile d’olive. Une fois chaude, faite à peine cuire les muscles de coquilles St jacques (30 secondes de chaque côté) sinon ils seront secs et caoutchouteux.

Pour dresser :

Mélangez la salade et la sauce (pas trop de sauce pour conserver le goût des deux salades) puis dressez dans les assiettes . Ensuite, disposez des crevettes dorées et des muscles de coquille St jacques. Parsemez ensuite de petits dés de poivron rouge. Servez immédiatement

Idée plus : Vos potes devraient apprécier ce plat qui va aussi bien aux communistes pour le rouge qu’aux écologistes pour le vert. Désolé pour la droite, mais je ne connais pas de légume bleu. Profitez-en pour relancer les discutions politique d’avant le 29 mai 2005, c’est toujours utile et ça change du foot.

               Il vous faut :

· Un lapin cru d’un bon kilo ou des morceaux de lapin déjà coupés

· Deux côtes de porc dans l’échine

· Un gros oignon

· Une carotte (et/ou des noisettes)

· Un gros oignon

· De la crépine de porc

· Sel, Poivre

· Une terrine avec son couvercle

· Un four

· Un hachoir électrique ou à manivelle

· Du temps

· Famille et/ou copains pour manger le pâté

€ 15€,      ¹ 2heures tout compris

Commencez par désosser les morceaux de lapin  (attention aux doigts, les os de lapin cassés sont de vrais couteaux). C’est la tâche la plus longue mais ça vaut le coup.

Gardez deux ou trois morceaux de râble de côté.

Coupez les côtes de porc en morceaux.

Pelez l’oignon,  la carotte puis coupez-les grossièrement.

Passez grossièrement le tout au hachoir (sauf les deux ou trois gros morceaux)

Au final, il faut que le hachis soit assez grossier.

Salez et poivrez assez généreusement durant la phase de hachis.

Dans la terrine, étalez au fond, sur les côtés la crépine de porc.

Placez une couche de hachis dans le fond de la terrine (1/3 de la hauteur)

puis placez les deux ou trois morceaux entiers. Recouvrez avec le reste du hachis.

Une fois terminé, recouvrez avec de la crépine de porc puis mettez le couvercle

en place.

Placez la terrine dans le four thermostat 8 (240°).

En cuisant le pâté va rendre de l’eau, c’est normal sinon le pâté serait sec

Au bout d’une heure,  retirez le couvercle puis replacez le pâté dans le four pour que la surface brunisse (surveillez comme le fait un car de crs dans une manif) pour

ne pas laisser brûler.

Sortez du four et placez sur une grille pour le laisser refroidir.

Si tout c’est bien passé, vous pourrez déguster une ou deux heures plus tard.

N’en parlez pas à votre médecin (sauf si c’est un pote à qui vous ferez partager votre repas) car ça ne favorise pas la perte de poids ni votre régime.

Idée plus : Si vous n’aimez pas le foie de lapin (ç’est mon cas, mais bon...) faites plaisir à votre chat

Mes salades de saison

Il vous faut :

· De la salade bien sûr mais choisie selon la saison et le goût

·          roquette pour son goût

·          Rougette pour sa couleur superbe et son goût

·          Frisée craquante

·          Pousses d’épinards savoureuses

·          Mesclun varié

· Tout ce qui vous passe par la tête (fromages divers saumon, œufs, thon, tomates…

Parmi mes préférée :

· Feuille de chêne rouge et verte

· Roquette

· Basilic

· Lardons chauds

· Œuf mollet (cuit dans l’eau froide et 4 minutes après ébullition (attention, l’écalage est un piège)

· Pour la sauce, échalotes, moutarde, sel poivre, huile d’olive et bon vinaigre de vin vieux

· Pendant que l’on nettoie la salade à grande eau, faire dorer des lardons et cuire les œufs.

· Saucer la salade, écaler les œufs, dresser dans les assiettes puis couper les oeufs en deux et en poser deux moitiés par assiette. Placer des lardons chauds dessus, un peu de basilic émincé puis servir.

· Idée plus : comme le fromage, bonne salade avec mauvais pain chagrin.

· Couteau économe

· Choisir des couteaux en bon acier (inox ou normal) et pas les machins bidons affûté d’un seul côté de la lame ou dont l’acier est nul, impossible à affûter et qui coupe comme un genou de bonne sœur.

· Couteau lame courte et souple pour désosser.

· Couteau lame moyenne dont le manche permet d’émincer des herbes ou autres sans se cogner les doigts sur la planche.

· Grand couteau pour les rôtis, les rosbifs...

· Une pierre à affûter et un fusil pour aiguiser.

· Pinces et pique à deux pointes pour la viande.

· Fouets petit, moyen et grand en inox.

· Maryses de plusieurs tailles.

· Grande et petite louche.

· Écumoire.

· Bols en verre ou en inox (à fond rond c’est pratique pour faire des mixtures diverses et variées.

· Planche a découper (la mienne est en bois et fait 5cm d’épaisseur).

· De bons moulins à sel et poivre (mes filles m’ont offert les meilleurs dont la marque est celle des automobiles avec un lion sur le capot).

· Un robot de cuisine simple (le mien permet de faire les pâtes et de hacher. C’est tout mais il le fait bien)

· Les plats, poêles et autres indispensables.

· Un wok (poêle chinoise) est diablement pratique dans la cuisine de tous les jours)

· Un indispensable tablier.

· Terrine en terre véritable.

· Dernier cadeau, un plat à tajine.

· Le reste est comme pour tout, affaire de plaisir, d’utilité et de place et un peu quand même de finances. Là, c’est un choix à faire entre les courses de chevaux, la bagnole ou la bouffe.

Voici quelques-unes de mes recettes ou préparations.

En général, je fouille dans le réfrigérateur et dans les placards de la cuisine puis je compose avec ce que j’y trouve.

Souvent cela donne un truc mangeable parfois même, ce n’est pas mauvais du tout. De temps en temps, c’est bon selon celles et ceux qui mangent. j'ai la faiblesse de les croire, même si je les trouve souvent indulgents.

Je fais cela par simple goût de faire plaisir à mes proches ou aux copains.

Par contre, pour cuisiner, il faut de bons outils. Des couteaux affûtés, une vraie planche à découper (la mienne est en bois) et encore plus important l’envie de faire partager et de manger autrement que ce que distribuent les hypermarchés et, pire que tout, les fast-food.

Ah oui, j’oubliais, de bons produits sont indispensables et les trouver n’est pas difficile (un marché doit se tenir près de chez vous. C’est aussi économique que les produits des grandes surfaces (un exemple, le rôti de porc que vous achetez au grand distributeur du coin, dont la préparation vous fait perdre 10% ( barquette et déchets) du poids et la cuisson encore 10% (y en a de l'eau dans la poële) vous reviendra au même prix si vous le payez plus cher chez votre boucher ou au marché mais sans en gâcher, en préparation, en cuisson ou en le mangeant. En le demandant gentiment, vous pourrez même éviter de payer de la barde ou du plastique au prix de la viande).

De toute façon, l’important est de se faire plaisir en cuisinant et en régalant celles et ceux que vous appréciez.